J’avais parcourus les terres d’Alésia sans but, depuis l’évènement dans ce laboratoire je ne savais pas qu’elle était la marche a suivre pour « vivre », moi qui ne suis qu’une création d’un homme pour détruire les peuples.
Ces terres regorgeaient de choses merveilleuses : les forêts que j’avais traversé était toute plus somptueuse les unes que les autres, les plaines où le vent souffle étaient sublimes et maintenant je fais face a un édifice des plus imposant que j’ai vu dans ma courte existence.
Rock’Valley, où le berceau des nains. Une succession de montagne formant une barrière infranchissable au nom initié, moi-même j’ai eu du mal a traversé les différents pics et cols que possède cette vallée. Une vallée de la mort si je puis me permettre, entre les créatures mesurant 5mètres de longs, les orcs qui chasse le gibier et les différents « piègent » que regorge cet endroit, c’est un miracle de s’en sortir vivant ! Enfin bref…
J’étais là, devant la capitale des nains : une ville taillé dans la roche dont seulement une partie est visible. C’était de toute beauté : je ne comprenais pas pourquoi on m’a créé pour détruire un monde si étonnant et riche.
En réalité je n’étais pas venu ici par hasard, j’avais entendu parler d’un nain étonnement puissant, maître dans l’art d’enchanter les armes. J’avais besoin de lui demander une petite expertise de mes lames. Mais je ne savais pas a quoi il ressemblait, les nains ce ressemblent tous : une longue barbe, une descente de bière phénoménale et un franc parlé dont ils sont fières. Je me doutais qu’il ne serait pas facile de parler a un être pareille mais il me fallait des réponses.
Je m’approchais de la porte et m’adressa aux deux nains qui la gardaient, ils portaient une cuirasse lourde et des armes a en faire pâlir un orc.
-Bonjour… Je cherche un nain dénommé Thrölf, savez vous où je peux le trouver ?
-Tu nous a pris pour l’office du tourisme l’étranger ?! Nan mets oh tu te prends pour qui. Tu as vu ça Waren ?
-Ouai, ces humains sont toujours aussi crétins !!
Les deux nains se mirent a rire a gorge déployé, ils ce foutaient gentiment de moi et je ne pouvais le tolérer. Je fit sortir Munburendo, des steamers noirs avait précédé son arrivé. Sortit du néant ma lame semblait faire trembler les nains.
Oh ne faut pas ce vexé pour ça voyons ! Ton nain il n’est pas loin, après tout si tu te retourne tu le verras !!
Je me retournai et vit une petite silhouette s’approcher, je ne savais pas comment ils avaient réussi a reconnaitre un si petit point loin. Mais a présent j’attendais patiemment l’arrivé de ce nain pendant que ces comparses rigolaient toujours